samedi 25 février 2012

Début d'un conte


Le début d'un petit conte écrit en 2010, suite à une inspiration colorée (aquarelles), à télécharger aussi.
 http://annee2011.wordpress.com/
 Si ce conte vous plaît encouragez-la à terminer pour notre plaisir 


LA VALLÉE DE L’ABONDANCE

30 novembre 2010 at 11:44 (Uncategorized)
 À Eliot, né le 27 novembre 2010

Les deux premiers chapitres à télécharger (quelques instants nécessaires) !

Le peuple d’Abondance n’a jamais entendu parler d’argent et pourtant se sait riche à millions. Chaque habitant de la vallée a reçu à sa naissance les mêmes dons et valeurs que les Terriens.  Et les a fait fructifier et mis en pratique.
Ainsi, ceux qu’on appelle les chercheurs sur Terre se trouvent être des découvreurs, de l’autre côté de l’univers. Champions en matière de haute technologie, ils inventent des soucoupes volantes et découvrent la géothermie. Et pour notre bonheur, grâce à un ingénieux système, ils savent ce qui se passe sur Terre et se tiennent prêts à intervenir en cas d’urgence.
Aujourd’hui, les sœurs Silence ont entendu le soleil se plaindre du manque de respect des hommes à son égard et semblent inquiètes. On réunit le conseil de la semaine qui compte autant de sages que de jeunes. Tous interviennent à tour de rôle.
Lux : « Je propose de nous rendre sur Terre avant qu’il ne soit trop tard. J’ai entendu dire que le soleil est sur le point d’imploser tant il trouve surhumaine la bêtise des hommes. »
Liberty : « Et moi je pense qu’on devrait les laisser se débrouiller, il n’y a que l’expérience qui permette d’avancer. On ne devrait pas commencer à aider les Terriens, ils risquent de ne plus pouvoir se passer de nous. »
Sur l’écran d’Avril et Mai – les jumelles Silence – on peut lire : « Notre soleil brille parce qu’il est fier. Heureux de partager sa chaleur et son énergie, il nous donne une vie lumineuse. Mais les hommes n’ont pas encore compris. Ils préfèrent les caves et l’électricité pour faire mûrir leurs légumes ! On devrait aller informer leurs enfants et leur apprendre ce que nous savons. »

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